discutons autour de la grossesse, la naissance et le maternage... |
| | Petit coup de pompe... | |
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+3Claire zianydriss Fleur-de-Lys 7 participants | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Petit coup de pompe... Dim 14 Mai 2006 - 19:00 | |
| Eh vi, je ne suis pas beaucoup venu ces jours-ci, on a reçut des copains à la maison... Ca a été une semaine très fatiguante! mais je voulais parler d'autre chose: Mercredi je suis allé faire le test de glycemie (test du diabete), et j'ai des resultats pas très bon: -1er prise de sang 0.97 g/l a jeun -prise de 50g de glucose (j'ai lutter pour pas tout rendre, ca a vraiment été difficile) -2nde prise de sang 1h plus tard: 1.45g/l Les valeurs "normals" sont entre 0.75 et 1.10 Vendredi j'ai reçu les resultats, et apres une mauvaise interpretation de ma part, je me dis que tout va bien! Samedi, reception d'une lettre de ma gyneco qui me dit:"le test du sucre n'est pas bon et pour savoir s'il y a vraiment un diabète, pdt votre grossesse, il faut faire d'autres examens qui vont durer 3h au laboratoire." Avec une ordonnance pour le 2nd test dans la lettre... (100g de glucose! comment mon estomac pourra t'il supporter ca ? ) Je me dis que beaucoup de mamans sont passé par là, et que je dois pâs deprimer pour "si peu"... mais je cdomprends pas, pour Ethan j'ai pris 15kilos en 3/4 mois, il est parti avant que j'en arrive a faire le test du diabete.... Pour cette grossesse ci, j'ai fais attention a ce que je mangeais, et j'ai pris que 10/12 kilos en 6mois!!! Alors ce peut il que je fasse du diabete sans m'en rendre compte depuis la grossesse d'Ethan ? Et puis je ne connais pas les consequences pour Gabriel, je sais que moi je pourrais developper un diabete qui resterait apres mon accouchement... Comme d'habitude j'ecris avec mes pieds ;) bisoux |
| | | Fleur-de-Lys Habituée
Nombre de messages : 1126 Localisation : Montréal Date d'inscription : 13/04/2005
| Sujet: Re: Petit coup de pompe... Dim 14 Mai 2006 - 19:56 | |
| Le tes t de dépistage vise à détecter le diabète de grossesse, ça ne veut pas forcément dire que tu le serais toute ta vie.
Quand j'étais enceinte de Florane, j'avais dû faire, moi aussi, le second test. Il commencent par te faire une prise de sang à jeûn, puis tu prend les 100g de glucose. Tu as ensuite 2 prises de sang: la première après 1h et l'auter après 2h. C'est pour suivre l'évolution.
Ceci dit, mon gyné (et la sage-femme aussi enceinte d'Antonin) m'avait dit que souvent, le premier test est "positif" mais que le second ne l'est pas... Je ne me souviens pas très bien la raison, mais je me souviens que les deux fois, on m'a dit que le premier n'est pas tellement représentatif, que pour bien faire, on ne devrait faire que le second qui lui, est fiable.
Puis je sais aussi que selon le résultat, habituellement le premier "traitement" est une diète différente (le genre où on t'apprendra à ne pas manger de pain en même temps que tes spaggethis) et qu,ensuite, si VRAIMENT il n'y a rien à faire, c'est l'insuline... mais c'est dans les cas extrèmes.
M'enfin... restons quand même positive, moi je suis certaine que tout va bien ;) | |
| | | zianydriss Construit son nid
Nombre de messages : 31 Localisation : suisse Date d'inscription : 13/05/2006
| Sujet: Re: Petit coup de pompe... Dim 14 Mai 2006 - 20:14 | |
| les fille je sais pas si ca va vous rassure mais en suisse , moi je n'est meme pas fais le 1 er test (et pourtant j'ai pris 21 kg pour celle la contre 16 pour la 1 er en france ) d'apre ma gg il y a 30 a 50 % de femme dit avec diabete gestationnel (ortho??)et que en general ca ne pose des probleme que si on a des symptomes (et donc on fait les test dans ce cas ) le test peu etre tres facilement fosser , suivant ce que l'on a mange ou bu, de l'heure de l'exam , du corp de chacune , de l'age de la mere et du "bebe ".... as tu bien fini de prendre tout le medoc reelement 1 h avant la 2 prise de sang ... celine | |
| | | Claire Administrateur
Nombre de messages : 15786 Age : 50 Localisation : Val d'Oise Date d'inscription : 08/04/2005
| Sujet: Re: Petit coup de pompe... Dim 14 Mai 2006 - 21:03 | |
| Pour beaucop, le diabete gestationnel est une aberration, c'est en fait le corps qui s'adapte aux nouveaux besoins de la femme enceinte... Voici l'avsi de Michel Odent sur la question, avec à la fin, les references des articles (en anglais)
http://maternage.free.fr/liste_des_etudes.htm
L'EFFET NOCEBO DES CONSULTATIONS PRENATALES
par Michel Odent
Michel Odent fut le premier à avoir introduit en milieu hospitalier (à Pithiviers), les concepts avant-gardistes autour de l'accouchement, qui ont fait des émules depuis... salles de naissance comme à la maison, piscine d'accouchement, maternité chantante. Il est aujourd'hui, à Londres, le fondateur de "Primal Health Research Centre" qui travaille sur les conséquences à long terme de ce qui se passe dans la période qui entoure la naissance. Auteur de nombreux livres publiés en 20 langues, le dernier "The Scientification of Love", est maintenant disponible en français : présentation.
L'effet nocebo possible des consultations prénatales est un sujet qui prend une importance toute particulière à notre époque. Au cours de ces dix dernières années, nous avons appris que la santé se construit dans une grande mesure pendant la vie foetale. Pour s'en convaincre, il suffit de consulter notre banque de données*. On y trouve des centaines de références et résumés d'articles publiés dans des journaux médicaux et scientifiques qui font autorité. Il s'agit uniquement de recherches sur les conséquences à long terme de ce qui se passe au début de la vie. Dans tous les domaines de la médecine ont été publiées des études établissant des corrélations entre un état de santé à l'âge adulte, pendant l'adolescence ou l'enfance d'une pari, et ce qui s'est passé quand la mère était enceinte d'autre part. Bien plus encore, les physiologistes sont aujourd'hui en mesure d'expliquer comment certains états émotionnels de la femme enceinte peuvent influencer la croissance et le développement du bébé dans l'utérus. Dans un tel contexte scientifique, il est permis d'affirmer que le bien être des femmes enceintes devrait l'emporter sur toute autre considération... Cela devrait être la priorité en matière de santé publique. Pour les praticiens, le premier devoir devrait être de protéger l'état émotionnel des femmes enceintes. Or, l'expérience révèle que les consultations prénatales sont souvent génératrices d'angoisse. Elles ont souvent un "effet nocebo". Nous connaissons tous des femmes enceintes qui ont cessé d'être parfaitement heureuses après une consultation prénatale.
DE MON POSTE D'OBSERVATION
Il se trouve qu'à Londres, nombre de sages-femmes indépendantes, d'éducatrices de la naissance et de doulas (une doula est une mère ou une grand-mère expérimentée qui accompagne la jeune mère dans la période qui entoure naissance) connaissent mon numéro de téléphone et le transmettent aux femmes dont l'angoisse a été exacerbée par une consultation prénatale. Je suis donc dans une situation propice l'étude de l'effet nocebo. Mon expérience dans ce domaine m'a appris que, dans le contexte Londres, ce sont presque toujours les mêmes situations qui justifient des appels téléphoniques urgents. Ainsi, j'ai réalisé qu'à l'origine d'un véritable effet nocebo, il y a presque toujours une méconnaissance profonde de la littérature médicale. Mon rôle se limite le plus souvent à rassurer, en m'appuyant sur des études publiées dans des journaux qui font autorité. Voici quelques exemples fréquents d'appels de futures mamans angoissées.
"MON TAUX D'HÉMOGLOBINE EST DE 9 : JE SUIS ANÉMIQUE."
Rappelons que l'hémoglobine est le pigment des globules rouges. Quand une femme a un taux d'hémoglobine d'environ 9.0 ou 9.5 à la fin de sa grossesse, on lui dit, le plus souvent à tort, qu'elle est anémique et on lui donne des suppléments de fer. Or, dire à une future mère en parfaite santé qu'elle a besoin d'une prescription de fer pour corriger des déséquilibres dans son organisme, c'est altérer, et parfois profondément, son état émotionnel. Une telle attitude témoigne bien d'une méconnaissance de la littérature médicale. Une énorme étude britannique, disposant des dossiers concernant la naissance de plus de 150 000 bébés, s'était fixé pour objectif d'évaluer les taux idéaux d'hémoglobine en cours de grossesse (1). La principale conclusion de cette étude est qu'un taux de l'ordre de 9.0 ou 9.5 va de pair avec un bon pronostic. Par contre, lorsque l'organisme maternel répond mal à la demande du foetus et du placenta et ne parvient pas à abaisser son taux d'hémoglobine en dessous de 10.5, c'est mauvais signe. Les risques de prématurité, de poids insuffisant à la naissance ou de maladies de fin de grossesse (telles que les pré-éclampsies) sont accrus. D'autres études épidémiologiques ont abouti à des conclusions voisines (2,3)
Bien que de telles données aient été publiées dans des journaux d'audience internationale, partout dans le monde des millions de femmes sont déclarées anémiques et reçoivent des prescriptions de fer, alors même que les tests spécifiques susceptibles de déceler les carences en fer et les anémies n'ont pas été demandés. L'incapacité à interpréter les résultats d'un test aussi répandu que la mesure du taux d'hémoglobine chez les femmes enceintes est un phénomène troublant parce qu'il est quasi universel. On m'a conté l'histoire d'une Japonaise qui a passé la première moitié de sa grossesse à Londres, avant de repartir à Tokyo. Une de ses amies européennes, mère de quatre enfants, l'avait avertie longtemps à l'avance qu'en fin de grossesse, on lui dirait qu'elle est anémique et on lui donnerait du fer. La fin de l'histoire, qui s'est passée à l'autre bout du monde, est facile à deviner : on lui a donné des suppléments de fer. Le phénomène n'est pas seulement répandu d'un point de vue géographique. Il est aussi répandu quel que soit le milieu médical considéré. Une équipe renommée d'épidémiologistes spécialisés dans la période qui entoure la naissance a publié une étude sur cette phase de l'accouchement qui va de la naissance du bébé à la délivrance du placenta. Afin de limiter leur étude aux grossesses à bas risque, les chercheurs ont éliminé toutes les femmes dont les taux d'hémoglobine étalent inférieurs à 10 (4). Finalement, le taux moyen dans la population étudiée était de 11.1. L'occasion m'a été ensuite donnée de souligner les points faibles de cette étude (5) qui, en réalité, a inclus nombre de grossesses à risques.
Ce mystérieux phénomène collectif a pour véritable origine un profond désintérêt pour les fonctions du placenta. L'un des rôles du placenta est de constamment manipuler la physiologie maternelle pour le bénéfice du foetus. Le placenta "parle" à l'organisme maternel au moyen d'hormones. Il joue le rôle de l'avocat du bébé. Ainsi le placenta "demande" à la mère de diluer son sang et ainsi de le rendre plus fluide. Il en résulte une augmentation du volume sanguin qui peut atteindre 40%. Ceci explique que lorsqu'on mesure, dans le sang d'une femme enceinte, la concentration d'une substance telle que l'hémoglobine, on évalue avant tout le processus de dilution, c'est à dire l'activité du placenta. Il est aisément prévisible que cette concentration, qui est de l'ordre de 12 à 13 (g/dl) en dehors de la grossesse, s'abaissera chez la femme enceinte en fonction du degré de dilution du sang. Voici ce que disent des praticiens avertis à une femme enceinte dont le taux d'hémoglobine est de 9.0 ou 9.5 : "Bonne nouvelle ! Le placenta fait bien son travail et votre sang est convenablement dilué".
"JE SUIS DIABÉTIQUE!"
C'est la deuxième phrase type prononcée par beaucoup de femmes enceintes. De nombreux praticiens ne réalisent pas à quel point l'expression "diabète gestationnel" peut avoir un effet nocebo. Un tel diagnostic conduit à confondre une sérieuse maladie chronique avec ce qui n'est habituellement qu'une réaction physiologique transitoire. Il peut du jour au demain installer dans la maladie une femme qui était auparavant heureuse et se sentait en parfaite santé. De nombreux médecins ont souligné que ce diagnostic est inutile. On a d'ailleurs pu dire que le diabète gestationnel est un "diagnostic à la recherche d'une maladie". Le Professeur Jarrett, de Londres, dit que c'est une "non-entité" (6). Une étude très importante, à l'échelle de la population canadienne, a révélé que le recours systématique aux tests destinés à déceler des diabètes gestationnels n'améliore en aucune façon les statistiques (7) et n'a donc aucune raison d'être. Le diagnostique est inutile dans la mesure où les seules recommandations pratiques qu'il entraîne habituellement sont d'éviter les sucres purs (boissons sucrées, bonbons, etc.) de préférer les hydrates de carbones complexes (pâtes, pain, riz, etc.) et aussi d'avoir une activité physique régulière. Pas besoin de tests compliqués pour aboutir à de telles recommandations, qui sont d'ailleurs valables pour toutes les femmes enceintes.
Là encore il y a une discordance entre les données publiées dans la littérature médicale et les pratiques quotidiennes. Là encore cette discordance a pour origine profonde un désintérêt quasi culturel pour les fonctions du placenta. Le placenta fait savoir à la mère que le bébé en développement a besoin de plus de sucre. En d'autres termes, il demande à l'organisme maternel de modifier son métabolisme des hydrates de carbone. Exceptionnellement, le conflit peut aboutir à une véritable maladie. Dans l'immense majorité des cas, , la réponse de l'organisme maternel à la demande du placenta ne dépasse pas le cadre des réactions physiologiques. L'organisme maternel contrôle la situation. Il n'y a pas de symptômes. Seul un test de laboratoire qui consiste à donner artificiellement à la mère un excès de sucre permet de déceler une augmentation inhabituelle du taux de glucose sanguin (c'est ce que les médecins appellent une hyperglycémie provoquée).
"ON M'A PRESCRIT UN MÉDICAMENT POUR ABAISSER MA PRESSION ARTÉRIELLE"
C'est mon troisième exemple, tout aussi courant. Il est très fréquent que le placenta demande simplement à la mère d'envoyer plus de sang. Alors, l'organisme maternel augmente sa pression artérielle. Les résultats de toute une série d'études sont convergents, qui confirment qu'une augmentation isolée de la pression artérielle en cours de grossesse va de pair avec de bonnes statistiques (8,9,10,11) Malheureusement, de nombreux praticiens présentent la simple augmentation de la pression artérielle en cours de grossesse comme une mauvaise nouvelle. Ils la considèrent même parfois comme une maladie qu'il faut traiter par des médicaments. Une revue de 45 études publiées a révélé que les seuls effets d'un traitement anti-hypertensif pendant la grossesse étaient d'inhiber la croissance du foetus et d'augmenter le nombre de bébés de petit poids (12). Les praticiens qui s'intéressent à la physiologie du placenta étaient en mesure d'anticiper les dangers de tels traitements. Beaucoup confondent l'hypertension isolée de la grossesse avec cette maladie qu'est la pré-éclampsie. Certes lors d'une pré-éclampsie, il y a une augmentation de la pression artérielle, mais il y a aussi des protéines dans les urines et un certain nombre de perturbations métaboliques. Par comparaison, on pourrait dire que lorsqu'on a une tumeur au cerveau, on a mal à la tête mais que lorsqu'on a mal à la tête, cela ne signifie pas que l'on a une tumeur au cerveau...
De nombreux autres exemples pourraient rendre compte de l'ampleur de ce phénomène inquiétant et quasi universel. J'ai simplement cherché à analyser les situations les plus fréquentes et les plus préoccupantes. Il ne faudrait cependant pas conclure que les professionnels de la santé jouent constamment un rôle négatif sur l'état émotionnel des femmes enceintes. Ils peuvent même avoir directement ou indirectement un effet positif. Je ne puis m'empêcher de penser au temps où la maternité de Pithiviers était "la maternité chantante". A la fin de nos groupes de chant - qui se terminaient souvent en groupes dansants - les visages étaient rayonnants. Nous faisions plus pour la croissance et le développement des bébés à naître qu'en multipliant les échographies....
Références :
1 Steer P, Alam MA, Wadsworth J, Welch A. Relation between maternal haemoglobin concentration and birth weight in different ethnic groups. BMJ 1995; 310:489-91 - 2 Koller O, Sandvei R, Sagen N. High hemoglobin levels during pregnancy and fetal risk. int J Gynaecol Obstet 1980; 18:53-56. -3 Garn SM, et al. Maternal hematologic levels and pregnancy outcome. Semin Perinatol 1981; 5:155-62. - 4 Rogers J, Wood J, et al. Active versus expectant management of third stage of labour: the Hinchingbrooke randomised controlled trial. Lancet 1998 351: 693-99. - 5 Odent M. Active versus expectant management of third stage of labour Lancet 1998; 351:1659. - 6 Jarrett RJ. Gestational diabetes : a non-entity ? BMJ 1993; n306: 37-38. - 7 Wen SW, Liu S, Kramer MS, et al. impact of prenatal glucose screening on the diagnosis of gestational diabetes and on pregnancy outcomes. Arn J Epidemiol 2000; 152(11): 1009-14. - 8 Symonds EM. Aetiology of pre-eclampsia : a review. JR Soc Med 1980; 73: 871-75. - 9 Naeye EM, Maternal blood pressure and feral growth. Am J Obstet Gynecol 1981; 141: 780-87. - 10 Kilpatrick S. Unlike pre-eclampsia, gestational hypertension is not associated with increased neonatal and maternal morbidity except abruptio. SPO abstracts. Am J Obstet Gynecol 1995 ; 419: 376. - 11 Curtis S, et al. Pregnancy effects of non-proteinuric gestational hypertension, SPO Abstracts. Am J Obst Gynecol 1995 ; 418 : 376. - 12 Von Dadelszen P, Ornstein MP, et al. Fall in mean | |
| | | Yaël Gardienne du Temple
Nombre de messages : 1888 Age : 45 Localisation : 92 Date d'inscription : 12/04/2006
| Sujet: Re: Petit coup de pompe... Dim 14 Mai 2006 - 22:32 | |
| Moi pendant ma grossesse, j'avais aussi des résultats un peu douteux au 1er test de glycémie (genre 1,2 après la prise)... Alors j'ai dû faire le 2ème. J'ai bu les 100g de glucose et je suis rentrée me reposer chez moi avant la 2ème prise de sang... et j'ai tout revomi... Je n'ai rien dit et j'ai fait mes 3 prises de sang. Le gynéco a un peu tiqué sur les résultats mais sans plus. De toute façon, le seul truc à faire en cas de diabète gestationnel, c'est d'éviter de manger des trucs trop sucrés. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Petit coup de pompe... Lun 15 Mai 2006 - 10:21 | |
| Merci les filles ca m'a fait du bien de vous lire Yaël, je suis pas certaine qu'ils me laisseront rentrer chez moi (je ne suis qu'a 5min du labo, mais pour la 1ere pds ils m'ont gardé), mais si je peux et que je vomis (ce qui a de grandes chances d'arriver ), je ferais comme toi... (ce qui ne veut pas dire que je me ferais vomir non plus!) Je crois que pour le moment, j'ai plus peur de la boisson a ingurgiter que du reste... Et puis je me trouve bete aussi, parce que j'avais deja lu un truc comme Claire as mis (un article sur l'effet nocebo), et j'ai pas reflechi du tout.... je me suis monté la tete! Là ca va mieux, je pense a Gabriel, je veux pas qu'il me sente stressée... |
| | | Gaëlle-Marie Habituée
Nombre de messages : 1137 Localisation : Paris Date d'inscription : 15/04/2005
| Sujet: Re: Petit coup de pompe... Lun 15 Mai 2006 - 10:28 | |
| Bon courage, Célis ! (Claire : merci pour l'article bien instructif) | |
| | | Claire Administrateur
Nombre de messages : 15786 Age : 50 Localisation : Val d'Oise Date d'inscription : 08/04/2005
| Sujet: Re: Petit coup de pompe... Lun 15 Mai 2006 - 10:30 | |
| Tu n'as pas à te sentir bete voyons!! Manquerait plus que ça! La parole medicale nous touche beaucoup, et c'est bien là le probleme. ET pusi, le diabete gestationnel, y en a beaucop comme Odent qui considerent que ça n'existe pas et que c'ets encore une façon d'induire des pathologies chez des femmes enceintes qui vont bien. Surtotu que si vraiment quelqu'un fait du diabete, c'est une heresie de lui faire prendre autant de sucre d'un coup comme lors de ces exmens!! | |
| | | casou1 Habituée
Nombre de messages : 5236 Localisation : un p'tit coin breton Date d'inscription : 11/10/2005
| Sujet: Re: Petit coup de pompe... Lun 15 Mai 2006 - 10:34 | |
| oui t'inquiète ! ma sf m'avait dit comme claire et donc j'ai même pas fait le premier test ! donc soit cool ! j'ai en effet lu dans pas mal d'articles que le diabète gestationnel était sans doute normal car on assimile moins le sucre donc ... ils font ingérer des trucs dégueu pour rien ! | |
| | | Happy Girl Habituée
Nombre de messages : 3274 Age : 49 Localisation : Berlin Date d'inscription : 26/04/2005
| Sujet: Re: Petit coup de pompe... Lun 15 Mai 2006 - 12:05 | |
| Bon moi je n'avais pas fait le test mais une fois j'avais du sucre dans mon analyse pipi et ma gynéco m'a dit "si vous n'étiez pas enceinte on dirait que vous êtes diabétique mais là en fait l'assimilation du sucre est différente pendant la grossesse dont ça ne vaut pas la peine de s'affoler". Donc ne t'affole pas non plus | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Petit coup de pompe... Lun 15 Mai 2006 - 20:31 | |
| Je crois que le diabète n'a pas trop à voir avec le nombre de kg pris ... C'est plus le fonctionnement du corps qui est en jeu.
Pour le test du sucre je l'ai fait moi aussi, il n'y a pas de soucis pour le bébé car c'est du sucre de synthèse. |
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