La naissance de mon bébé

Voilà le récit de la naissance de ma puce...

Vous me connaissez maintenant, quand je commence j'ai du mal à m'arrêter, alors j'ai fait une version courte et une version longue

(ça sert au moins à ça de passer plus de 3 jours à la maternité )

Naissance de ma puce (version courte !!)

Samedi 14 avril 2007…

5h du matin : fissure de la poche des eaux.
Quelques contractions dans la matinée, mais peu douloureuses et irrégulières.
Vers 10h, les contractions se précisent ; à partir de 11h, contractions environ toutes les 3 minutes, mais toujours peu douloureuses.
Vers 13h, je sens que le travail a commencé, les contractions sont plus longues et deviennent vraiment douloureuses…
Départ pour la maternité à 14h, on arrive vers 14h30 : je suis à 3 cm…
Ma SF me fait un point d’acupuncture et au bout d’environ 20min je suis à 5-6cm !
Suite du travail dans la baignoire, jusqu’à dilatation complète.
Retour en salle de naissance : en position accroupie j’accompagne la descente du bébé, et je suis allongée sur le côté pour l’expulsion… qui a lieu à 16h25 !

Sur le dossier, il est écrit : travail 3h, expulsion 2min.

Pas de perfusion, pas de prise de sang, pas de péri, pas d’épisio…
J’ai juste une déchirure qui a nécessité quelques points…

La petite avait un circulaire, mais le cordon était bien long, donc ma SF a pu le retirer tout de suite sans avoir à le couper. La petite était bien violette, donc elle lui a mis un peu d’oxygène sous le nez pendant qu’elle était sur moi. Elle a attendu que le cordon ait cessé de battre, et a « prévenu » la petite avant de le couper (ni l'Homme ni moi n’avions envie de le faire, mais elle nous l’a proposé).
Je l’ai gardée un long moment, en peau à peau, encore toute pleine de vernix… Pas de passage par la case couveuse.
J. et C. sont allés la peser et mesurer (4kg, 53cm, 35 de PC), elle n’a pas été aspirée et n’a pas eu de collyre.
Ils l’ont ramenée et C. lui a donné le bain en salle de naissance, devant moi… (Elle a proposé à J. mais il ne se sentait pas de le faire…)
Je ne sais plus si elle m’a recousue avant ou après le bain, mais j’avais ma petite sur moi tout le temps…
Catherine m’a ramenée dans ma chambre vers 18h30-19h, en fauteuil, avec bébé dans mes bras.

A aucun moment du séjour à la maternité je n’ai quitté mon bébé… Elle a été vue par un pédiatre le dimanche matin, et a eu la visite « des 8 jours » le mardi matin.
C’est C. qui lui a fait sa prise de sang avec les dépistages obligatoires le mardi soir : la petite était au sein, elle n’a pas bronché !

Je n’ai quasiment pas eu à faire à l’équipe de la maternité (sauf pour « l’hôtellerie » ! ), c’est C. qui a fait tous les soins, pour moi et pour Maëlle…

Bref, tous mes souhaits, exprimés ou pas (je n’avais pas fait de vrai projet de naissance), ont été respectés : le bonheur !

La version longue!

Samedi 14 avril 2007…

Vers 5 heures du matin, je me réveille, comme chaque jour, avec une bonne contraction et une envie pipi… Mais je sens quelque chose d’inhabituel… Je crois que j’ai fissuré…
Je me lève et ça se confirme, ça coule !
Je me recouche, j’ai du mal à y croire… J’oscille entre l’excitation et la panique…
Je commence par me convaincre que ça y est, c’est parti, parce que dans un coin de ma tête, une petite voix me dit encore que peut-être je me trompe et qu’il ne se passe rien !
Et puis je commence à m’organiser : en fait, je ne pouvais pas rêver mieux… C’est samedi, mes parents sont dispo pour s’occuper des grandes, tout le WE s’il le faut… Je n’aurais à déranger personne en pleine nuit… En plus, j’ai passé une très bonne nuit, je me sens reposée et en forme pour attaquer cette journée qui promet d’être riche en émotions !
Finalement, vers 6 heures, je ne tiens plus en place, j’ai mille choses à faire, je vais commencer tout de suite !
D’abord, une bonne douche, je me lave les cheveux, je me fais un brushing, j’ai envie de me sentir bien ! La grande se réveille vers 6h30, me demande pourquoi je suis déjà levée alors que c’est encore la nuit… Je lui explique que la poche dans laquelle se trouve le bébé a cassé, que l’eau est en train de couler et que du coup il ne pourra plus rester très longtemps dans mon ventre… Elle est folle de joie quand je lui apprends que la petite sœur va arriver aujourd’hui ou demain (je préfère être prudente !) Peu après, sa soeur se réveille et c’est elle qui se charge des explications (visiblement elle a bien intégré ce que je lui ai dit !) Elle aussi se montre très heureuse, ça me rassure sur l’accueil qu’elles vont réserver à leur petite sœur…
On déjeune toutes les 3, je laisse J. dormir, de toute façon, je ne contracte pas encore, il n’y a rien d’autre à faire qu’à attendre…
Après le petit dèj, je commence à préparer leur valise et je préviens ma mère à 7 heures pour qu’elle passe les chercher… Elle est toute paniquée, et elle ne comprend pas que je ne sois pas déjà à la maternité si j’ai perdu les eaux… « Mais je pensais que dans ce cas là il fallait partir tout de suite… » Non non, ça va, je gère, fais-moi confiance… Je suis un peu déçue car elle n’a pas l’air convaincu quand je lui dis que je maîtrise la situation et qu’elle n’a pas besoin de se presser, que je ne contracte pas et que la petite ne va pas sortir comme ça en une heure !
En attendant qu’elle arrive, j’ai habillé les filles, préparé leur valise et commencé la mienne. J’ai également réveillé J… Il a eu un sursaut quand je lui ai dit que j’avais fissuré, mais il est rapidement redevenu très zen… Il me demande comment je veux qu’on s’organise et se tient à ma disposition… Ca me va comme ça, je n’ai pas besoin de lui pour le moment !
Ma mère arrive vers 8h30, elle amène le stress avec elle… Elle est fin speed, me demande de rajouter des trucs dans la valise, presse les filles… J’ai hâte qu’elle reparte et qu’on soit tranquille !
Après son départ, le calme revient dans la maison, je suis contente que les filles soient « gérées », je n’ai plus qu’à penser à la naissance maintenant… J. me rejoint dans la chambre du bébé où je finis ma valise, et on se prend un moment pour regarder dehors le soleil qui se lève… Fenêtre ouverte il fait déjà bon… On se dit qu’on va bientôt être 5 dans ce jardin et on se prend à rêver un peu… Puis chacun vaque à ses occupations…
J’ai appelé C. vers 9 heures pour l’informer que « c’est en route », on doit refaire le point au téléphone à midi… Je suis prise d’un gros coup de flemme, et je retourne commater sur le clic-clac en attendant que Dame Nature fasse son travail… Je somnole, et je souris en me disant que j’aurais pu sauter dans la voiture et filer à la maternité en constatant l’écoulement ce matin, et que je me serais privée de ce moment de détente… Je repense à mon parcours depuis la naissance de P., à l’accueil que je réserve à mon bébé… Je suis vraiment heureuse et fière… Je vais bientôt la tenir dans mes bras…

Vers 11 heures, je me relève, je commence à avoir des contractions légères mais régulières, chouette, tout se passe bien ! (Oui, forcément, j’avais déjà envisagé que le travail n’allait pas se mettre en route, qu’il allait falloir me déclencher, etc, etc, on ne se refait pas ! )
Je prépare des pâtes carbonara, j’en dévore 2 assiettes alors que J. ne fait que picorer… Il est quand même stressé finalement, mais ne le reconnaîtra que plus tard ! J’essaye de noter la fréquence des contractions : toutes les 3 minutes environ, mais elles sont assez brèves et pas douloureuses… Je n’ai pas envie de rappeler C. tout de suite, je sens bien que le travail n’a pas vraiment commencé et je n’ai pas envie de partir de la maison maintenant (je regrette presque de l’avoir appelée ce matin, je ne veux pas passer pour « la fille inquiète » ! ).
A midi et quart, C. m’appelle pour savoir où j’en suis : elle a rendez-vous chez le coiffeur à 13h30, et veut savoir si elle y va ou si elle annule ! Je lui donne ma bénédiction, tout va bien, et ça n’a pas l’air d’aller trop vite, elle peut y aller tranquillement. Elle me dit quand même de ne pas hésiter à l’appeler sur son portable au cas où…
Les contractions s’intensifient, elles sont toujours régulières, toutes les 3 minutes, et durent environ 1 minute... Comme Catherine me l’a conseillé, j’essaie d’adopter des positions penchée en avant ou à 4 pattes, j’essaye de ne pas lutter contre la douleur mais de laisser la contraction faire son travail… J’écoute Pablo Honey, de Radiohead… J’avais prévu un CD de relaxation, mais ce n’est pas du tout ce dont j’ai envie juste là !
A 14 heures, je rappelle C., maintenant j’ai besoin de faire le point avec elle, je ne veux pas attendre trop longtemps pour prendre la route (il paraît que pour un 3e ça peut aller vite, ma mère me l’a encore répété avant de partir !) On convient donc de se retrouver à la maternité et nous voilà partis (heureusement qu’elle n’avait pas prévu de se faire une couleur ce jour là !! )
Dans la voiture, j’ai eu la mauvaise idée de monter devant et la position assise ne me convient pas du tout… J’ai des douleurs dans les cuisses à chaque contraction et des fourmis dans les pieds, je bloque tout, c’est très inconfortable… En plus, il y a du monde sur la route, ça n’avance pas, Jérôme trépigne… Je lui dis que j’espère être au moins à 5 ou 6 en arrivant la bas, parce que là je commence à avoir du mal à gérer…

On finit par arriver à la maternité, je sonne en salle de naissance, c’est C. qui vient nous ouvrir… Quel bonheur de la voir, c’est rassurant de retrouver ici un visage familier… On discute un peu, elle m’aide à passer une ou deux contractions, rien que de la savoir là je suis apaisée…
A 14h30, elle m’examine, je suis sur le dos, c’est insupportable pour moi dans cette position… Elle m’annonce que je suis à 3 cm … J’en pleurerais tellement je suis déçue… Quand je pense que ma copine qui a accouché aussi avec elle est arrivée à 8 cm… La honte…
Je trouve déjà la douleur difficilement supportable, je suis prête à lui dire d’appeler l’anesthésiste pour avoir une péri, je n’y arriverais jamais c’est certain… Mais je n’ose pas abandonner déjà, donc je ne dis rien… Je lui dis juste que je suis déçue (et de toute façon ça se voit ! ) En plus, je commence à paniquer, je ne respire plus bien pendant les contractions, je serre tout, je me contracte, je m’énerve, je crie…
Elle me rassure, elle m’a installé sur le côté et c’est déjà plus supportable, elle m’accompagne à chaque contraction… Elle me fait un point d’acupuncture pour aider le col à « lâcher ».
Elle me rappelle que ce que je ressens ce n’est pas l’intensité de la douleur, mais la puissance de la contraction… Que c’est puissant pour que ça aille vite… Que chaque contraction va de toute façon finir par passer, que je ne dois pas lutter contre elles… (ça me fait penser à ma mère, quand j’étais petite et que je n’arrivais pas à m’endormir, elle me disait toujours « Tu vas voir, tu vas de toute façon finir par te réveiller demain matin et tu ne te souviendras même plus quand tu t’es endormie, n’essaye pas de forcer le sommeil… » )

Elle me réexamine après un quart d’heure-20 minutes : je suis à 5-6cm !!
Elle me félicite… Ca me paraît fou d’avoir progressé si vite, mais je la crois et ça me redonne confiance…
A chaque fois que je me dis « Je ne vais jamais y arriver », je fais l’effort de bloquer cette pensée en me concentrant sur « Je VAIS y arriver ». Je suis maintenant dans une espèce d’état second, proche de l’état sophronique : je garde les yeux fermés, je suis centrée vers l’intérieur de moi, je ressens comme une torpeur, une grande lassitude, mais je suis en pleine conscience de ce qui se passe et vigilante aux paroles de C. Je ne parle pas, je garde toute ma concentration pour relâcher les tensions entre les contractions, et pour accompagner les vagues… A chaque contraction, je me répète un genre de mantra « Fort / Vite / Maëlle », ça m’aide à me concentrer et à supporter…
J. est là, il ne dit plus rien ; quand C. sort de la pièce il prend sa place et pose sa main sur moi, ça me fait du bien…
Ensuite, Catherine me propose d’essayer la baignoire et de voir si ça me convient… Elle me dit qu’il y a aussi le ballon, mais qu’on va commencer par le bain si je suis d’accord… Je suis d’accord avec tout ce qu’elle me propose !
Je suis toujours dans cette espèce de torpeur, de dissociation, et quand je me lève j’ai l’impression d’être un zombie… Avec J., ils me soutiennent jusqu’à la salle de bain, et je m’installe dans la baignoire… Assise d’abord, je me sens bien, une contraction passe… C. me propose d’essayer de m’installer sur le côté, mais ça ne me convient pas du tout, je resterai donc demi-assise… J’ai quand même l’impression d’être « tassée », je ne suis pas sure que ce soit bien pour la progression du travail, mais Catherine me rassure : si je suis bien comme ça, on ne change rien… J. branche une petite radio et s’arrête sur une station qui passe Noir Désir, je suis contente ! Si j’avais su, j’aurais ramené le CD de Radiohead, et j’aurais passé Creep en boucle !!
Les contractions continuent, toujours plus fort… J. plaisante un peu avec C., ça m’énerve, je veux qu’il se taise (mais je ne dis rien, de toute façon, il voit bien que ce n’est plus le moment de rigoler ! ) Pour m’aider à me centrer sur mon bébé qui arrive, je me saisis le ventre pendant les contractions, la fraîcheur de mes mains m’aide à ne pas ressentir que la douleur… J’essaye aussi de ne pas laisser le masque de la douleur et de la crispation s’installer sur mon visage, je m’efforce de détendre mon front et de faire un genre de sourire forcé… Pendant mes respirations abdominales, j’expulse le négatif à chaque expire… Bref, je mets ma sophro en pratique !
A un moment C. quitte la pièce, et J. veut mettre sa main sur ma tête pour m’accompagner, mais je le chasse comme un insecte qui viendrait me perturber… Je n’ai pas besoin de ça… Il n’en prend pas ombrage et s’éloigne un peu… Par contre, s’il avait quitté la pièce, je l’aurais supplié de revenir : sa simple présence m’est indispensable…
C. revient et m’examine : je suis dilatée, je vais pouvoir sortir de l’eau et retourner en salle de naissance…
Je ne cherche pas à comprendre, je la suis, J. me soutiens… Hors de l’eau une contraction me plie en 4 alors qu’on rejoint la salle…
Elle m’installe accroupie sur la table, mains en appui sur le dossier remonté… Je perds pieds, je hurle, je ne sais plus ce qui se passe, j’ai perdu tout contrôle… J’ai peur et je le dis à C…
J’ai abandonné mes velléités de tout maîtriser ou du moins de faire comme si… J’ai repensé à Casou (eh oui ! ) qui disait qu’elle avait eu un grand besoin d’être rassurée lors de son accouchement, de savoir « si elle faisait bien »… Et j’ai accepté qu’aujourd’hui, ce n’était pas le jour pour faire semblant, pour jouer à « la fille qui assure »… Je me laisse donc aller à exprimer ce que je ressens, je me sens toute petite, mais si forte en même temps… En fait, j’ai peur parce que je ne sais pas jusqu’où va me conduire la douleur… A aucun moment je n’ai eu peur de mourir, mais plutôt peur de l’inconnu…
Je n’arrive plus à contrôler ma respiration, je pousse mais j’ai l’impression de le faire dans le mauvais sens, de gonfler le ventre au lieu de plaquer et « démouler le bébé »… C.e me conseille alors de pousser avec mes bras tendus sur le dossier de la table, et je retrouve les sensations des séances de préparation… Je comprends que la puissance est là, qu’il n’y a qu’à la canaliser… Je ne crie plus, je râle en poussant, je sens la progression du bébé…
Enfin, elle m’installe couchée sur le côté, une jambe relevée, et c’est comme ça que je fais sortir mon bébé… C’est J. qui soutient ma jambe, pas d’étriers pour moi ! Je sens cette brûlure du périnée qui se tend toujours plus, je sens sa tête qui passe, le reste suit… Et ça y est, j’ai mon bébé sur la poitrine, je l’ai mise au monde, elle est là…
Je crois que j’ai crié mon bonheur, c’était trop fort, trop puissant, trop merveilleux… Les mots ne suffisent plus pour décrire ce moment là…

Je ne vous cache pas que sur le coup, je me suis dit que le petit 4e qu’on envisage ne se concrétiserait jamais, parce que plus jamais je ne pourrais vivre ça… C’était trop dur pour moi… Ma puce sur moi, là, c’était un merveilleux aboutissement, mais point barre…
Et puis aujourd’hui, quand je repense à cette journée, je souris de fierté, et je me dis que oui, c’était l’un des moments les plus forts qu’il m’ait été donné de vivre et que la douleur est bien vite oubliée…
Je regrette juste d’avoir gardé les yeux fermés lors de « l’expulsion » (puisque ça s’appelle comme ça…) ; j’étais avec Maëlle de l’intérieur, je l’accompagnais du dedans, mais je ne l’ai pas vue arriver hors de moi… C’est J. qui me disait « Ca y est, la tête est là, les épaules sont passées, elle est sortie… »
Je le savais, je le sentais, mais il me le disait et je visualisais… C’est dur à expliquer…

Mais enfin, ce n’est qu’un tout petit regret dans un immense bonheur…

magnifique !!!
quelle belle et heureuse naissance - rapide aussi !
Maëlle à bien de la chance.

c'est magnifique, bravo à toi. J'ai lu la version longue, quelle puissance, vraiment!!!

Waw!
C'est vraiment une naissance respectée comme tu dis!
Et puis c'est enthousiasmant de voir que certaines maternités arrivent qd-même à oublier les protocoles pour laisser place aux souhaits de la maman.

Bravo

Bravo!! quelle belle naissance!! et quel courage tu as eu!! c'est vraiment un très beau récit... toutes mes félicitations

j'arrive pas a retenir mes larmes ... c'est tellement fort et beau ! bravo a toi pour ta force, tu as ete exceptionnelle

c'est vraiment chouette que tu es pu le vivre comme ça!!!!
je suis tres heureuse pour vous!!!!!et surtout pour toi!!!!!

quel beau debut de vie pour maelle!!!!
j'en ai les larmes aux yeux comme d'hab!!!trop d'émotion merci de nous l'avoir fait partager

merci pour ton récit !
c'était vraiment fort et magique !

Ainsi on peut vivre un vrai accouchement respecté à l'hospital ? ça laisse rêveuse ....

En tout cas je te félicite quel courage !

ca y est: je pleure... que d'emotions, que de bonheur et quelle jolie naissance. toutes mes felicitations!

Quelle belle naissance et c'est si bien raconté

Gros bisous
Charlotte

merci beaucoup (je pense que la version courte ne va pas etre trop lu ici... )
c'est vraiment super ca m'impressionne a chaque fois!!!
encore bravo et un grand MERCI

Quel beau recit, vraiment!
Merci!

Bravo pour ce récit plein d'émotion et pour ce magnifique accouchement...

merci pour ce recit! il est magnifique! tu as eu un accouchement wouaaaaouuuu!

merci pour tonrécit, il est superbe !

Oh la la que d'emotions! Quelle belle naissance! Je suis toute retournee

Merci d'avoir partage ces moments avec nous.

Bravo a vous.

C'est trop beau!! Félicitations!

Je suis soufflée je sais pas quoi dire (sauf que ça donne envie de faire une petite fille ))
Féliccitations, Bienvenue à toi Maëlle !

merci! c'était magnifique. quelle naissance!
et surtout bravo!
la "sortie" de Maëlle m'a fait éco...on aura peutetre l'occasion d'en parler
bienvenue à Maëlle

merci !
c'est ... émouvant !

quel beau récit merci laure

(je t'envie 3 h de travail)

Waououou ! bravo !
Je préfère nettement la version longue....

J'ai été touchée de la façon dont tu parle de ton homme : à la fois indispensable et jamais là où il faut ; rejeté, mais nécessaire.

Et puis l'abandon nécessaire : il y a un moment où il faut lacher, ne plus vouloir diriger, se laisser emporter...
Puis la brulure, signe que le bébé arrive, dernier écartèlement...

Quant à ton regret sur l'expulsion, je ne comprends pas bien. Je n'ai moi aucun souvenir d'avoir vu mes enfants sortir. Il faut dire que nos yeux ne sont pas bien placés pour ça... Et puis nous sommes tellement (naturellement) shootées que je crois que c’est impossible…

Bravo à vous !