L'IEF, c'est bien, mais en pratique, on fait comment???

Louve a écrit:

Mais comment ils font? Je veux dire dans toutes leur sortie ils sont 2 parents d'où ma question : comment font-ils pour vivre?? Au départ je voyais l'IEF comme un parent bosse pour ramener la pitance (nul mais ça reste un poil nécessaire pour avoir un logement) et l'autre participe à l'éducation des enfants. Je me plante complètement?
C'est quoi la recette magique?

Ben, je me pose exactement la même question!
Tu nous ouvres un post différent, histoire que ta question ne se noie pas dans la masse?

Nous avons un projet d'IEF. Ca ne veut pas dire que ça se fera, car notre situation actuelle doit changer pour rendre l'IEF réalisable.

J'ai bcp lu, j'ai plein de blogs de mamans en favoris, et encore, je suis sûre qu'il y en a bien plus! Je regarderai pour vous faire un petit récapitulatif.
Je me sens OK pour certains apprentissages tels que la lecture et les maths, mais nettement moins pour les sciences. Merci de m'avoir fait découvrir les petits débrouillards, je vais avoir de la lecture.
J'ai commencé une formation montessori, tant pour mon projet d'IEF que pour mon boulot. Ca me donne des outils supplémentaires.

Mes doutes portent sur le fait de mes besoins d'échanges réels et pas seulement virtuels avec des familles pratiquantes. Et je vous avoue que nous avons un couple d'amis jeunes parents pensant aussi à l'IEF qui vont bientôt quitter notre région, et nous nous demandons si nous ne les suivrions pas afin de construire un projet commun. (je précise que nous nous entendons très bien, et partageons les mêmes visées éducatives)

Autre chose:
nous ne sortons pas énormément, rencontrons peu de personnes, et j'avoue que ça me pose question pour notre fils. A 15 mois, il est encore trop jeune pour les activités à la bibliothèque et pas de maison verte ici... Les réunions de la LLL??? Elles ont lieu en semaine, qd je bosse... Bref, ce manque d'aspect de vie sociale me pose question... Et les vacances, ben, on ne part que très rarement car ben, pas le budget... et en plus, on trouve ça fatigant! (tout préparer, ne rien oublier, faire les lessives en rentrant). Oui, je suis très paresseuse (et surtout pas remise de la première année RGO de notre fils). Ca ne m'inquiète pas pour la socialisation. Mais je trouve que du coup, il vit un peu en vase clos... (bon, en même temps, il est hypersensible aux autres et ça peut créer des crises, même dans la file au marché, si la personne avant nous dans la file a un stress émotionnel que mon fils ressent)..............

Je reviendrai, car je suis très fatiguée.

voilà, m'dame, suffisait de demander ;)

je crois qu'on en a parlé ici y a pas tres longtemps...mais je saurai pas te retrouver le post lol

dans les gens que je connais, y a un peu de tout...

-maman a la maison, papa qui bosse
-papa et maman qui ont une entreprise gérée à domicile
-maman qui bosse a la maison, papa a l'extérieur a mi temps
-maman qui bosse a mi-temps, papa qui bricole a la maison et petits boulots compatibles avec horaires de maman
-

Coucou,
il a de tout chez les parents qui pratiquent le non sco.
Il existe trois asso en France. Autant d'occasion de lire et d'échanger des expériences. Le besoin d'échange, de rencontres, est ressentis très diversement. Et par exemple, les enfants n'en sont pas forcément demandeurs. Quand on choisit le non sco, c'est aussi pour être libre de façonner son propre chemin, et d'être différemment à l'écoute des besoins et des aspirations des enfants et des jeunes.
En gros (et je suis aussi en découverte et en exploration là dessus), on ne quitte pas la voie de l'école pour une autre voie, mais pour trouver son propre équilibre, c'est une quête!

Bonne idée ce post

Situation actuelle : boulot que j'aime (ben vi quand même, pas 8 ans d'études pour rien) et actuellement seul salaire qui nous fait vivre, popa chomedu mais veut faire sa formation de charpentier (et il y arrivera j'ai pleine confiance en lui ).
Je ne peux pas avoir d'horaire décalé : je fais pas mal d'accueil et de service donc je suis en poste de 8h30 à 17h30 en moyenne (avec période d'astreinte et compagnie tant qu'à faire) donc aménager mon emploi du temps me semble difficile.

Profiter du temps libre pour l'instruction ludique oué mais pas envie non plus qu'elle n'ait pas une minute pour pouvoir rêver, s'ennuyer aussi.

Bon de toute manière si mon concours foire : la question sera surement réglée, je pense que je lâcherais l'affaire mais bon j'avoue que j'aimerais bien l'avoir ce poste cnrs.

Du coup je suis tiraillée entre le fait d'être persuadée que l'IEF est une très bonne chose pour les enfants et sûrement une des meilleures voies d'éducation possible et le fait d'aimer mon boulot et d'avoir déjà fait beaucoup de sacrifice pour y arriver (et du coup en laissant tomber un peu l'impression de foutre ma thèse au feu )

Euh, l'idée d'un temps partiel peut-être?

Ici, la situation actuelle: papa temps partiel (un petit quart temps)
maman bosse 4 jours par semaine.
Notre idée: diminuer nos frais fixes pour pouvoir permettre à maman de diminuer son temps de travail, d'autant plus que papa vient de s'installer comme auto entrepreneur pour une activité autre que son temps partiel et que nous espérons bien que ça se développe pour lui,
afin d'arriver à : papa travaille à mi temps, maman travaille à mi temps (voire un peu moins... )
Pour diminuer nos frais fixes: ben, changer de logement pour avoir un loyer moindre, mais vu qu'en terme d'espace, on a besoin d'un espace minimum, ben, on pense changer de région. D'autant plus que le papa veut changer de région pour d'autres raisons. Un couple d'amis déménage dans un mois, et l'idée pourrait être de les rejoindre (à condition de trouver un logement très près de chez eux) afin de partager ensemble le projet IEF, les activités extérieures avec les enfants, etc...

Pas d'IEF possible dans notre situation actuelle Parce que papa ne se voit pas gérer les apprentissages du français, des maths, il se voit plutôt gérer l'aspect artistique et spirituel. Ok. Mais moi, en étant 4 jours par semaine à l'extérieur et en ramenant du travail pour mes soirées et WE, ben, ça ne laissera pas assez de temps pour les apprentissages dits fondamentaux.

temps partiel impossible pour ce poste (à la rigueur un 80% que je demanderais pour le second loupiot) et d'autant plus que si je le demande je signe mon échec assuré au concours cnrs.

Pour vous : peut être proposer à vos amis d'acheter ensemble un vieux corps de ferme pour l'aménager en deux petites maison conjointes? Pas chère et super pratique pour faire une sorte de colocation plus privée

Louve a écrit:

temps partiel impossible pour ce poste (à la rigueur un 80% que je demanderais pour le second loupiot) et d'autant plus que si je le demande je signe mon échec assuré au concours cnrs.

Pour vous : peut être proposer à vos amis d'acheter ensemble un vieux corps de ferme pour l'aménager en deux petites maison conjointes? Pas chère et super pratique pour faire une sorte de colocation plus privée

Quelle drôle de société. Des mamans super épanouies qui ont envie de concilier vie privée et vie professionnelle, ben, elles ont un meilleur rendement, ça s'en ressent aussi dans l'équipe, etc... Franchement, c'est vraiment dommage que notre société ne considère pas les choses sous un autre angle. Comme une maman que j'ai rencontrée cette semaine, travaillant pour l'insee, qui l'envoie 6 mois à Libourne... avec deux loupiots de 7 ans et 3ans et demi... Pfff

En fait, nos amis nous avaient parlé du projet il y a presque un an, en plein RGO de loulou alors qu'on n'avait pas fait une nuit complète depuis sa naissance (donc, six mois). J'étais complètement à l'ouest et incapable de m'investir dans une recherche de logement avec eux. Alors, ils ont cherché seuls, et ont trouvé. Donc, l'achat commun n'est pas envisageable, je me "décide" presque un an "trop tard"

Je sais pas exactement comment ça peut être mis en place si les 2 parents travaillent, je pense dans le fond que l'IEF c'est plus qu'un choix éducatif, c'est un choix de vie, à tout point de vue (le lieu où on vit, la façon de ramener des sous ...)

Pour nous c'est facile et évident car nous sommes tous les deux à la maison, monsieur est auteur de BD et rapporte donc suffisamment pour payer le loyer, payer les factures et avoir de quoi vivre raisonnablement. Moi... ah c'est compliqué, disons que je me cherche un peu et que j'explore deux voies avec la possibilité que ça aboutisse vraiment, photographe et auteur (et là plusieurs projets : essai, littérature, et jeunesse). On fait aussi un peu d'élevage (en développement justement) chiens, chats et chevaux) .

Il est hors de question d'envisager travailler à temps plein pour l'un ou pour l'autre hors du domicile, à moins d'en avoir l'extrême nécessité pour bouffer, ce que j'espère n'arrivera jamais.

Plus on avance dans l'IEF moins il nous paraît envisageable de la scolariser, même dans une école alternative. Et surtout on se retrouve finalement dans l'unschooling, y a pas vraiment l'équivalent en français mais en clair, il n'y a aucun cours, aucun apprentissage, on se contente de vivre et de répondre à ses demandes en lui offrant toutes les opportunités possibles de découvrir, d'apprendre, de comprendre...

Clairement je ne voudrait pas que ma fille ne sache pas écrire correctement plus tard, ou n'ai aucune culture générale, donc je fais partie déjà d'une caste de parents relativement élitistes (parcours personnel Bac S puis prépa), et pourtant je ne m'inquiète pas une seconde, car elle apprend merveilleusement bien comme ça, elle a 4 ans et demi, elle sait écrire, elle a des connaissances incroyables pour son âge en sciences, elle apprend à lire en mémorisant des histoires qu'elle connaît déjà et en repérant des mots, les identifiant etc... une méthode qu'elle a mis en place elle même.

En clair on l'accompagne dans ses propres apprentissages, c'est tout, c'est notre seule action, on répond à ses questions, on l'aide à faire ses recherches (elle sait déjà bien se servir d'internet et surtout de google ;) ).

Je fais complètement confiance en la soif d'apprendre et de comprendre des enfants qu'on a laissé libre, sans interdits.

Je dis je, mais son père est aussi impliqué que moi dans ces décisions, ces choix, et a la même vision de la vie en famille, mais bon je parle en mon nom.

Le temps d'apprentissage est si faible en fin de compte pour de tels "résultats", elle passe beaucoup de temps à jouer, à s'occuper des animaux, à laisser libre cours à son imagination, mais quand le quotidien lui soulève une question, elle s'interrompt pour obtenir des réponses. L'apprentissage de l'écriture, ça a simplement été du dessin, très vite elle a commencé à écrire des lettres, des mots, des noms sur ses dessins, elle s'est entraînée comme ça, elle a mémorisé les lettres, et maintenant elle sait écrire tout ce qu'on lui dicte.

Quand je pense que d'autres enfants sont 8 heures en classe et apprennent moins que ma fille qui ne travaille jamais, ne fait aucun exercice... être libre n'a que du bon.

On s'est longtemps pris la tête sur la question de voir d'autres enfants, j'avais tellement peur que ça lui manque, qu'elle passe à côté de quelque chose... finalement elle fait 2 activités (éveil musical, natation), on l'emmène jouer au parc, elle passe peut être moins de temps avec d'autres enfants mais ce n'est que du temps agréable. Cela dit elle est plus proche des adultes (et là elle est loin d'être timide, elle raconte sa vie à la boulangère, au docteur, à la bouchère, bref les commerçants la connaissent bien, la plupart savent qu'elle ne va pas à l'école (je vous l'ai dit, elle est bavarde!) et ils la trouvent exceptionnellement à l'aise et volubile pour une enfant de son âge, très confiante, joyeuse... bref on est loin du cliché de l'enfant renfermé parce qu'il ne va pas à l'école...) et elle n'accepte pas la brutalité de la plupart des enfants de son âge, donc elle ne joue qu'avec ceux qui se comportent avec respect, parfois des plus jeunes (assez souvent, elle est douce et protectrice, ils viennent souvent à elle), et des plus âgés (elle est très grande pour son âge, donc ils viennent assez spontanément à elle et se montrent assez doux avec elle en raison de son jeune âge).
En bref c'est une petite fille parfaitement épanouie, on s'est pris la tête pour rien, elle est heureuse comme ça (elle avoue qu'elle n'a pas du tout envie d'aller à l'école, elle en a même un peu peur (les récits pour enfants avec des instituteurs/trices méchants sont finalement assez courant, elle a notamment été marquée par Tom Sawyer) malgré le fait qu'on essaie de lui donner une vision la plus objective possible de l'école traditionnelle (on ne tait pas non plus les réalités pour la "rassurer" sur l'école)).

Concernant l'IEF on a commencé à réfléchir à la situation actuelle sur le plan législatif et les mesures de contrôle etc... j'ai commencé à écrire certaines choses, j'en parlerais dans un autre sujet, j'aimerais écrire un projet de loi encadrant mieux ce "vide" autour de l'IEF permettant à la fois à l'Etat d'exercer une forme de contrôle et aux familles IEF de jouir d'une plus grande liberté et surtout un vrai respect de leur choix (ce qui n'est pas le cas actuellement avec la forme de contrôle que l'on connaît).

Tiens coucou Semy : ça faisait longtemps

Ton témoignage : il fait juste rêver

Louve a écrit:

Tiens coucou Semy : ça faisait longtemps

Ton témoignage : il fait juste rêver

Hihi comme tu vois, pauvre enfant

Je suis justement passée ici parce que je voulais te lire un peu et voir pikmin (mais je crois que j'ai pas accès à cette partie) et le post des gestantes sur srfa est pu là, et on veut pas de moi sur le nouveau forum et ton blog est pas à jour l'alignement des planètes est contre moi

J'ai hâte de vous parler du "Projet éducatif et pédagogique d'instruction en famille" que je mets sur pied c'est chiant qu'il y ai peu de communauté autour de l'IEF parce que je suis complètement hystérique à ce sujet

Ah j'y pense il y a cette famille IEF : http://ecoledespirates.eklablog.com/ où le papa travaille et la maman étudie encore (ou étudiait ça fait longtemps que j'ai pas suivi).

Semy, oui, ça fait rêver...
mais on ne peut pas tous vivre en travaillant de chez nous.
Pour mon mari et moi, ce n'est pas possible (enfin... on aimerait que ça le devienne, mais nos métiers ne sont à la base pas du tout orienté "travail à la maison"... ). On réfléchit à continuer à exercer nos professions en ayant un local pro à la maison (métiers en lien avec la santé et l'éducation), mais ça sous entend des gros travaux ici, ou aller ailleurs, mais c'est dur financièrement...................
Alors, moi, je trouve que toutes les familles n'ont pas accès de la même façon à l'IEF.

Sheerazade a écrit:

Semy, oui, ça fait rêver...
mais on ne peut pas tous vivre en travaillant de chez nous.
Pour mon mari et moi, ce n'est pas possible (enfin... on aimerait que ça le devienne, mais nos métiers ne sont à la base pas du tout orienté "travail à la maison"... ). On réfléchit à continuer à exercer nos professions en ayant un local pro à la maison (métiers en lien avec la santé et l'éducation), mais ça sous entend des gros travaux ici, ou aller ailleurs, mais c'est dur financièrement...................
Alors, moi, je trouve que toutes les familles n'ont pas accès de la même façon à l'IEF.

C'est compliqué, c'est évident que tout le monde ne peut pas travailler chez soi, mais je ne peux pas non plus juste dire qu'on est chanceux car c'est aussi un vrai choix que l'on a fait.

A la base je n'étais pas du tout partie pour une profession indépendante, j'ai entamé un cursus de hautes études qui me destinait au journalisme, à la politique ou en dernier lieu à l'enseignement. J'avais aussi envisagé faire médecine... fin bref définitivement une voie bien différente.

Mon ami pourrait gagner plus, il pourrait avoir des sécurités (congés payés, maladie etc...) en étant animateur ou storyboarder (c'est sa formation à la base il a fait une école d'animation)...

Disons que nos choix se sont faits un peu au hasard de notre vie, et parce qu'on ressent ce besoin profond de vivre en famille, à la maison, de profiter d'une vie douce, calme, à notre rythme, et quelque part c'est un luxe, celui de gagner moins, de savoir vivre avec peu.

Bref c'est vrai que tout le monde ne peut pas travailler à la maison, et puis ce n'est pas fait pour tout le monde je pense, il faut aussi être une couple avec un immense respect de l'autre, une grande écoute, beaucoup de choses en commun etc... pour vivre 24h/24 ensemble, à nos yeux ce ne sont que des avantages parce que c'est profondément ce que nous désirons, mais c'est évident que ça ne peut pas convenir à chacun.

Et puis avant l'IEF on avait envisagé toutes les options et on a longuement pensé qu'on la mettrait en école alternative, quelque part il faut vivre l'IEF pour que ça nous manque vraiment ou qu'on ne puisse rien envisager d'autre. L'idée pour nous de se lever, aller à l'école, alors qu'il fait encore noir dehors, on ne peut plus l'imaginer. C'est fou, on arrive à peine à imaginer qu'on a fait ça nous même pendant pas loin de 20 ans...

C'est super ton retour pour celles qui sont en pleine réflexion sur l'IEF.
Mais je suis d'accord avec toi, il faut savoir aussi se donner les moyens de ses ambitions, même si c'est effrayant de changer radicalement de vie !

Au plaisir de te lire ...

Merci de ton témoignage SemynonA !

Notre puce n'a que 7 mois, mais le projet d'ief est bien ancré dans nos esprits. (Je pourrais dire que c'est sûr, mais on laisse toujours une place à l'imprévu.) Et c'est toujours super rassurant de lire ce genre de témoignage.

Nous ici, c'est papa qui est au foyer et maman qui travaille (je finis assez tôt). A ce niveau de l'organisation, ça devrait donc bien se passer. Même si j'aurais préférée être à 100% de mon temps impliquée...

C'est sur que c'est un mode de vie à choisir. Mais c'est plus facile quand tu le choisis à l'avance, parce que j'imagine bien la difficulté (et le temps nécessaire) à réorganiser sa vie entière pour pouvoir rester auprès de ses petits bouts, jusque dans l'ief. Le désir de mon chéri d'être papa au foyer, je le connaissais depuis longtemps. Etant à son compte, avec une activité pas ultra fleurissante, on savait qu'il ne servirait à rien d'essayer d'en faire un revenu à part entière puisqu'il allait garder pépette. Ensuite l'élan vers l'ief vient de lui à la base. Encore un "truc" vers lequel j'avançais sur la pointe des pieds. Seulement maintenant que la puce est née, que je me suis replongée dans la pédagogie montessori, ça me parait tellement naturel de nous orienter vers ça. D'autant plus justement, que sa mise en place ne devrait pas être trop difficile puisque le chéri est déjà at home.
(J'ai du mal à lacher mon boulot, et la sécurité qu'il apporte, par contre, alors que j'aimerais VRAIMENT être à la place de mon homme.)



Je retourne bosser justement.