Par ce que l'annonce d'une "mauvaise nouvelle" par l'équipe médicale n'est pas anodine lorsque l'on est enceinte, et parce que tous les examens sont porteurs de stress, j'ai trouvé un article qui parle des cancers mais inclus l’annonce à l’échographie d’une malformation d’un enfant dans le ventre de sa mère. Il a une certaine reconnaissance de l'impact, du choc que l'on peut vivre et surtout il pose les bonnes questions pour éviter l'effet nocebo :
Questions à se poser lors d’une annonce d’une « mauvaise nouvelle »
- que veut savoir le patient ?
- comment le patient fait-il l’expérience de mauvaises nouvelles ?
- quel est la compétence des médecins à dire des mauvaises nouvelles ?
- comment les médecins devraient-ils transmettre les mauvaises nouvelles ?
- la manière d’annoncer les mauvaises nouvelles fait-elle une différence ?
- les différences de culture ont-elles un impact ?
- 4. Comment les mauvaises nouvelles doivent être annoncées ?
1. Il est important que la prise en charge de la personne soit globale.
2. Il est important que le médecin accorde du temps à l’annonce (pas dans un ascenseur, pas en trente secondes dans un couloir, …)
3. Il est important que le praticien sache que les statistiques basées sur une population n’ont aucune valeur prédictive à l’échelle d’un individu.
4. Norman COUSINS disait : « Acceptez le diagnostic, refusez le pronostic ».
Voilà si vous souhaitez en savoir plus :
http://www.ibbtev.be/?Les-suites-d-une-mauvaise-nouvelle