Bébé Nature, la naissance respectée
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 pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...

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bibounette80
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyLun 30 Juin 2008 - 18:58

bien sûr que vous avez le droit de donner le vôtre! mais quand tu m'as répondu justement "sans commentaire" je trouvais ça un peu cassant, désolée!!
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Séverine
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyLun 30 Juin 2008 - 19:06

je vais te repondre franchement : j'ai prefere dire "sans commentaires", car s'il y en avait eu, j'aurai certainement ete plus cassante encore! desolée. je vois souvent des situations dans lesquels les enfants ne sont pas ecoutés, sont rabaissés, humiliés. et je ne peux pas toujours dire quelque chose. ici, c'est un lieu de parole où je peux exprimer tout ca. le debut du post en avait dit suffisamment pour que tu saches que nous parlions d'ecoute des besoins de l'enfant, et quand je t'ai lu, ca m'a fait mal pour ton bebe! vraiment mal! c'est pourquoi j'ai prefere en rester là, et j'ai suivi par quelques petites questions censés faire echo a ton sentiment maternel. apres, chacun fait ses choix comme tu le dis...

j'ai bien compris que rine n'apaise ta petite dans ces moments là. mais pourquoi preferes tu la laisser seule alors?
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bibounette80
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyLun 30 Juin 2008 - 19:15

séverine crois tu que qqun qui ne serait pas à l'écoute de ses enfants viendrait ici, lol?!
en plus perso j'avais lu les premières réponses en diagonales et pour moi la question "les pleurs des bébés quand ils en ont besoin" semblait indiquer justement qu'ils en avaient besoin!

pour les pleurs de ma fille elle ne le fait plus donc plus de souci, mais comme je l'ai dit je finissais par la laisser pleurer car en plein milieu de la nuit je ne voyais pas quoi faire de plus après lui avoir donné le sein, l'avoir câliné, portée etc pendant un bon moment...!! surtout que dans la majorité des cas elle rigolait dès que je la prenais dans mes bras et pleurait dès que je la recouchais, donc j'avais l'impression que tout allait bien et juste qu'elle n'avait pas envie de dormir!!
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyLun 30 Juin 2008 - 19:27

je ne saurai trop te conseiller la lecture de ce livre sur les pleurs des enfants.

en laissant pleurer un enfant seul, c'est sur, ca marche! car l'enfant comprend que ca ne sert a rien d'appeler, on ne viendra pas. effectivement, c'est bien le but recherché par les parents. mais en se mettant a la place de l'enfant, qu'est ce qu'il comprend? qu'il faut se resigner... que les personnes en qui il est censé avoir le plus confiance et les plus a meme de repondre a ses besoins, ne sont pas là quand il en a besoin. alors a quoi bon? je te laisse sur cet extrait du concept du continuum...

derniere chose avant : il arrive aussi a ma fille de ne pas vouloir dormir, elle rit quand je la regarde. j'ai choisi de rester a ses cotes, la lumiere eteinte pour lui signifier qu'on est a la nuit et qu'il est l'heure de dormir, et lorsque le sommeil revient, elle se rendort paisiblement...

"Dans les cliniques d’accouchement du monde occidental, il n’y a guère d’espoir de se faire consoler par les louves. Le nouveau-né qui réclame par tous les pores de sa peau le contact originel avec un corps doux et mou qui irradie la chaleur est enveloppé dans un lange sans vie. Il peut crier aussi fort qu’il veut, on le met dans une boîte où il est abandonné à un vide torturant et où il n’y a aucun mouvement (pour la première fois depuis l’origine de son existence physique , depuis des millions d’années de son évolution ou de sa félicité éternelle dans l’utérus). Le seul bruit qu’il puisse percevoir, ce sont les hurlements d’autres victimes qui souffrent les mêmes indicibles tortures infernales. Ce bruit ne peut rien signifier pou lui. Il hurle et hurle tant qu’il peut ; ses poumons qui ne sont pas habitués à l’air s’épuisent sous le poids de ce cœur désespéré. Personne ne vient. Comme, de par sa nature, il croit que la vie est juste, il fait la seule chose qu’il puise faire : il continue de hurler.

A la fin il s’endort, à bout de forces – toute une vie plus tard, hors du temps. Il s’éveille dans l’angoisse inconsciente du silence, de l’immobilité. Il pleure. Il brûle de besoin de la tête aux pieds, de désir, d’impatience insupportable. Il ouvre la bouche pour respirer et hurle, jusqu’à ce que le bruit remplisse son crâne, qu’il soit prêt à éclater. Il crie jusqu’à ce que la poitrine lui fasse mal, que sa gorge soit en feu. Il ne peut plus supporter la douleur ; ses sanglots s’affaiblissent puis s’arrêtent. Il écoute. Il ouvre et ferme les poings. Il tourne la tête d’un côté puis de l’autre. Rien n’y fait. C’est insupportable. Il recommence à hurler, mais sa gorge est trop fatiguée ; bientôt il s’arrête à nouveau. Il raidit son petit corps torturé de dé&sir et il perçoit un soupçon de soulagement. Il remue les mains et gigote. Il s’arrête, capable de souffrir, mais incapable de penser, incapable d’espérer. Il écoute. Puis il se rendort. Brusquement on le soulève ; l’attente de ce à quoi il devrait avoir droit se manifeste à nouveau. On enlève le lange mouillé. Soulagement. Des mains vivantes touchent sa peau. On le soulève par les pieds et on remet entre ses cuisses un autre morceau d’étoffe sec comme du caillou et inerte. Immédiatement, c’est encore comme s’il n’y avait jamais eu ces mains, ni le lange mouillé. Il n’y a pas de souvenir conscient, pas trace d’espoir. Le bébé se trouve dans un vide insupportable, hors du temps, dans l’immobilité et le silence, plein de désir infini et inassouvi. Son continuum essaie les mesures de sécurité, mais elles sont toutes uniquement propres à pallier de petites défaillances dans un traitement par ailleurs adéquat, ou bien demander un soulagement à quelqu’un dont on présume qu’il l’apportera. Pour le cas extrême qui se présente, le continuum n’a pas de solution. La situation dépasse son expérience pourtant immense.
Depuis quelques heures à peine qu’il respire, le bébé a déjà atteint par rapport à sa nature un degré d’aliénation dont même son puissant système de sécurité ne peut plus le sauver. Le séjour dans la matrice maternelle a été selon toute vraisemblance le dernier dans cette atmosphère de bien-être ininterrompu où, selon l’attente qui lui est innée, il aurait dû passer toute sa vie.
Toute sa nature se fonde sur l’idée que la mère se comporte de façon adéquate et que les motivations et les actes qui en résultent d’une part comme de l’autre seront tout naturellement dans un rapport de réciprocité qui les servira l’un comme l’autre. Quelqu’un vient et le soulève délicatement. Le bébé s’anime. On le prend certes trop timidement à son goût ; mais au moins il y a du mouvement. maintenant il se sent à la bonne place. Toute l’angoisse mortelle qu’il vient de traverser n’existe plus. Il est couché dans des bras qui l’entourent ; et bien que sa peau ne retire aucune impression de douceur du contact avec l’étoffe, rie qui annonce la proximité d’une chair vivante, les mains et la bouche lui disent que tout est normal. La joie de vivre, qui est l’état normal du continuum est presque parfaite. Il y a le goût et la structure du sein, le lait chaud coule dans sa bouche avide, il y a ce battement de cœur qui aurait dû être la liaison, garantir le lien avec le corps maternel, ses yeux qui y voient à peine perçoivent un mouvement. Le ton de voix aussi est bon. Il n’y a que l’étoffe et l’odeur (sa mère met de l’eau de Cologne) qui font qu’il manque quelque chose. Il tête et quand il se sent rose et repu, il tombe dans la somnolence.

Au réveil, il est de nouveau dans l’enfer. Pas de souvenir, pas d’espoir, pas de pensée qui puisse lui rappeler dans le dessert de son purgatoire le réconfort de la visite auprès de sa mère. des heures passent, et des nuits, et des jours. Il pleure, il se fatigue, il s’endort. Il s’éveille et mouille ses couches. Maintenant il n’en éprouve plus aucun bien-être. A peine ses organes internes lui ont-ils communiqué le plaisir du soulagement que celui-ci est à nouveau supplanté par une douleur croissante quand l’urine chaude et acide attaque son corps déjà irrité. Il hurle. Ses poumons épuisés ont besoin de hurler pour couvrir cette brûlure aiguë. Il hurle jusqu'à ce que la douleur et les hurlements l’épuisent, avant qu’il s’endorme à nouveau. dans sa clinique qui ne constitue en rien une exception, les infirmières qui ont beaucoup de travail changent les langes à heures fixes qu’ils soient encore secs, humides ou complètement trempés ; et les enfants ont le corps tout irrité quand elles les renvoient à la maison où il y aura quelqu’un qui aura le temps de faire ce genre de choses et qui les guérira. Lorsqu’on l’emmène à la maison de sa mère (on ne peut guère dire que ce soit chez lui), il est déjà tout à fait au courant de la nature de l’existence. A un niveau préconscient qui déterminera toutes ses impressions ultérieures de la même manière qu’il sera réciproquement marqué par elles, il sait que la vie est indiciblement solitaire, sans réaction à aucun des signaux qu’il peut émettre et pleine de souffrance. Mais il n’y a pas encore renoncé. tant qu’il y aura de la vie en lui, les forces de son continuum essaieront toujours de retrouver leur équilibre. la maison ne se différencie guère de la clinique d’accouchement, si ce n’est pour l’irritation de la peau. les heures où il est éveillé, l’enfant les passe dans la nostalgie, le désir et l’inlassable attente de l’état « adéquat » qui selon le continuum devrait remplacer le vide et le silence. Pendant quelques minutes par jour son désir est satisfait et ce besoin de contact, ce besoin qu’on le porte et qu’on le promène, ce besoin effroyable qui le démange constamment est comblé.

Sa mère fait partie de celles qui, après bien des élucubrations, se sont décidés à autoriser à l’enfant l’accès à leur sein. Elle aime d’une tendresse encore jamais connu. Au début, elle a de la peine à le recoucher après la tétée, surtout parce qu’il hurle si désespérément. mais elle est persuadée de devoir le faire car sa propre mère lui a dit (et elle est bien placée pour le savoir) que plus tard il serait mal éduqué et lui ferait des difficultés si elle lui cédait maintenant. Elle veut tout faire comme il faut ; et pendant un instant elle sent que la petite vue qu’elle tient dans ses bras importe plus que tout au monde. Elle soupire et le repose tout doucement dans son berceau capitonné de tissu avec des petits canards jaunes, assorties à toute la pièce. Elle s’est donné beaucoup de mal pour mettre des rideaux en coton, un tapis en forme de panda géant, une table de toilette blanche, une baignoire et une table à langer. Il fallait aussi du talc, du savon, de la crème, du shampooing et une brosse à cheveux - le tout dans des tons de bébé.
Au mur, il y a des images de bébés animaux habillés en hommes. La commode est pleine de petites chemises, de barboteuses, de petits chaussons, de petits bonnets, de gants et de langes. Dans l’angle sur le dessus il y a un mouton en laine et un vase de fleurs - des fleurs que l’on a coupées, parce que la maman « aime » aussi les fleurs. Elle tire sur les bords de la petite brassière et couvre le bébé d’un drap brodé et d’une couverture qui porte ses initiales. Elle la regarde avec une certaine satisfaction. On n’a rien négligé pour que l’aménagement de la chambre du bébé soit parfait, même si par ailleurs le jeune couple ne peut pas encore s’acheter tous les meubles qui sont prévus pour les autres pièces. Elle se penche sur l’enfant et dépose un baiser sur cette joue soyeuse ; puis elle se dirige vers la porte alors que le premier hurlement de torture lui transperce le corps. Elle ferme tout doucement la porte. Elle lui a déclaré la guerre. Il faut que sa volonté l’emporte. A travers la porte elle entend des cris, comme si l’on torturait quelqu’un.
Son continuum les identifie en tant que tels. La nature ne donne pas de signe sans équivoque voulant dire que l’on torture quelqu’un quand ce n’est pas vraiment le cas. Elle hésite. Son cœur se sent attiré vers lui, mais elle résiste et s’en va. Elle vient juste de le changer et de lui donner à téter. Elle est donc sûre qu’en réalité il ne lui manque rien, et elle laisse pleurer jusqu'à épuisement. Il s’éveille et se remet à hurler. Sa mère jette furtivement un coup d’œil par la porte pour s’assurer qu’il est couché comme il faut : tout doucement encore, pour que l’attention qu’elle lui manifeste n’éveille pas de faux espoir, elle referme la porte. Elle se précipite dans la cuisine pour faire son travail, elle laisse la porte de la cuisine ouverte pour entendre le bébé « si jamais il lui arrivait quelque chose ». Les hurlements de bébé se changent en plaintes chevrotantes. Comme personne ne répond, le mécanisme qui active ses signaux se perd dans la confusion du vide sans vie, alors que le réconfort aurait dû venir depuis longtemps. Il regarde autour de lui. Au-delà des barreaux immobiles et le mur. Il perçoit des bruits qui n’ont aucun sens, provenant d’un monde lointain. Près de lui, tut est calme. Il regarde le mur, jusqu'à ce que ses yeux se ferment. Lorsqu’il les rouvre, plus tard, les barreaux et le mur sont toujours exactement pareils, mais la lumière est encore plus triste."

"The Continuum Concept", J. Liedloff, 1977
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyLun 30 Juin 2008 - 19:38

merci pour cet article, c'est très intéressant et hélas sûrement vrai dans certaines familles mais heureusement je ne me retrouve pas dedans car j'ai toujours répondu à ses pleurs, même si comme je le disais au bout d'un moment je la laissais pleurer car je ne savais plus quoi faire!

et merci pour ton conseil de rester à ses côtés en éteignant la lumière, je le ferai si elle recommence à se réveiller la nuit!
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyLun 30 Juin 2008 - 19:41

je suis heureuse que tu ne te retrouves pas dans cette lecture.
@ bientot pour d'autres posts
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyLun 30 Juin 2008 - 19:59

Vous savez le pire... J'ose même plus dire quelque chose 02_05_The-Definition

Severine 0059_G
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyLun 30 Juin 2008 - 20:01

Zabounette a écrit:
Vous savez le pire... J'ose même plus dire quelque chose 02_05_The-Definition

Severine 0059_G


du coup, là c'est moi qui ne sait plus quoi dire...
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyLun 30 Juin 2008 - 20:11

severine a écrit:
Zabounette a écrit:
Vous savez le pire... J'ose même plus dire quelque chose 02_05_The-Definition

Severine 0059_G


du coup, là c'est moi qui ne sait plus quoi dire...

Ho non faut pas... C'était une petite réflexion perso... J'ose plus intervenir dans ce genre de débat parce que généralement je fais pire que mieux lol...

Je te rejoinds dans ta vision des pleurs de l'enfants! aav
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Séverine
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyLun 30 Juin 2008 - 20:13

Zabounette a écrit:

Je te rejoinds dans ta vision des pleurs de l'enfants! aav


aav
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Nadëa
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyLun 30 Juin 2008 - 21:19

ba désolé d'avoir dit ce que je pensais, mais je pouvais pas laisser un message finir comme ça. non de non. je me la ferme déjà assez dans la vie de tout les jours. d'ailleurs tout ce que tu dis plus bas ne me font pas changer d'avis. j'arrive pas à comprendre qu'on puisse laisser pleurer un bébé autant de temps seul encore plus quand on se dit maternante. à la rigueur je "comprend plus" quand c'est une maman qui n'a pas ce point de vue du maternage.
je ne veux en aucun cas te juger ou te dire que tu es une mauvaise mère. mais on ne le dit pas assez qu'un enfant a besoin de présence et de contact, a besoin d'être accompagné dans les émotions forte qu'il arrive pas à gérer. Je le dis!
Je dis ce que je pense. Point barre. ;-)
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyLun 30 Juin 2008 - 21:21

bonsoir!j'ai bien cru que j'allais pleurer en lisant l'extrait de Liedloff! Récemment j'ai lu "Mon bébé comprend tout" de A.Solter, dans la même veine que "Pleurs et cris des enfants et des bébés". J'ai essayé la méthode avec Amalia, je ne tente plus de calmer ses pleurs à tout prix, je l'encourage à décharger ses émotions...Mais j'ai encore beaucoup de mal à la "laisser pleurer" (dans mes bras certes, mais pleurer quand même!), à accepter l'idée que pleurer lui soit bénéfique... Au début c'est vrai que j'ai remarqué une sacrée différence au niveau du comportement d'Amalia, elle semblait beaucoup moins agitée, beaucoup moins BABI (Bébé aux besoins intenses) pour tout dire.Mais depuis trois semaines, j'ai l'impression d'être revenue à la case départ...
Amalia est accro à la têtée, elle ne s'endort pas autrement...si le têton lui échappe elle s'éveille, panique et se met à pleurer...je lui rends parce que ça me fait tellement mal au coeur de la voir dans un tel état mais je me dis que c'est certainement ce que Solter nomme "Automatisme de contrôle"...j'avoue que je ne sais plus trés bien ce que je dois faire, je ne sais pas si elle à besoin d'assouvir son besoin de succion ou si elle réprime ses pleurs...
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Nadëa
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyLun 30 Juin 2008 - 21:24

je crois qu'il faut surtout suivre son instinct et son bébé. ;-)

je sais pas mais chiara me le faisait bien comprendre quand elle voulait pas de mon sein. quand elle le prenait je me disais que ça la réconfortait au moins ;-)
quand elle avait besoin de décharger rien y faisait. elle pleurait point barre. je la prenais contre moi. c'est vrai que desfois j'en avais ral le bol. c'est dur un bébé qui pleure pdt des heures (communément on appelle "les pleures du soirs " si je me souviens bien), souvent stephane rentrait et je lui passais le relais. mais y avait toujours l'un de nous avec elle.

et puis tu sais avec un bébé y a toujours des "retours en arrière" ils ont besoin de ça pour grandir aussi ;-)
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyMar 1 Juil 2008 - 8:33

merci Séverine pour avoir essayé de me comprendre et pour tes conseils!

Julie je ne comprends pas trop ta réaction si vive, même si a priori c'est la conséquence des critiques des autres que tu as l'air de supporter difficilement dans la "vraie vie" , et je comprends bien que ce soit difficile pour toi; mais je ne pense pas t'avoir critiqué d'avoir dit ce que tu pensais, j'ai juste été un peu vexée qu'à l'inverse on ne respecte pas vraiment ce que je dise moi, c'est tout!

pour la question du maternage où tu ne comprends pas qu'une maman qui se dise maternante dise ce que j'ai dit, je voulais juste dire que je n'ai justement jamais dit que j'étais une maman 100% maternante, je suis venue sur ce forum car le sujet "bébé au naturel" m'intéresse, comme je l'ai déjà dit je suis à fond pour l'allaitement, j'allaite d'ailleurs toujours ma fille de 11 mois; j'ai essayé d'avoir des accouchements les plus naturels possibles; j'essaye que mes filles aient une alimentation et des soins bio le plus possible; après sur la question des pleurs ou du sommeil je ne suis pas tout à fait de votre avis mais je pensais pouvoir donner le mien ici même s'il n'allait pas dans le sens pur du maternage étant donné que c'est un forum de discussion!

je pense qu'à l'avenir je ne posterai plus sur les thèmes où je ne suis pas tout à fait d'accord car a priori ce n'est pas le but de ce forum, et me réserverai aux sujets où je suis une maman "nature"!
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyMar 1 Juil 2008 - 9:10

Bibounette, sens toi libre de répondre quand tu en as l'envie... Quitte à ne pas etre d'accord, c'est ton droit. Tout comme Julie a le droit de bondir si ce qu'elle lit est douloureux pour elle...
Un forum, c'est un echange de point de vue Smile
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyMar 1 Juil 2008 - 11:14

merci Claire! 0001_G
c'est vrai que du coup je ne savais pas trop s'il fallait forcément aller dans le sens du maternage à fond ou pas pour poster dans ce forum!
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyMar 1 Juil 2008 - 11:38

Y a des fois où on se trouve assez dépourvue et on ne trouve pas de solutions alors qu'elle peut être sous nos yeux.
Je regrette de n'avoir pas laissé mon fils râler un peu plus (pas pleurer, mais râler) afin qu'il trouve lui -même une solution ou qu'il apprenne un peu la frustration, j'aurai peut-être un enfant moins exigeant et coléreux. Mais à l'époque je me précipitais pour le prendre dans mes bras au moindre chouinement ou mécontentement et je ne suis pas sure de lui avoir rendu service.
Peut-êtr e que ta fille aurait aimé dormir avec vous mais que vous n'y avez pas pensé ou que ça ne vous convenait pas et elle a aussi appris à devoir faire avec. Je dis ça je n'en sais rien.
Mais enfin on est loin de la maltraitance (je me souviens qu'une infirmière à la maternité m'avais dit qu'il avait déjà compris comment me faire tourner en bourrique, il avait même pas 48h, j'ai compris que tu n'étais pas dans cet état d'esprit en laissant ton enfant pleurer.
D'ailleurs comment ça se passe maintenant?
Franchement faut bien admettre qu'un bébé qui pleure sans qu'on arrive à le calmer c'est très usant et très difficile.
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyMar 1 Juil 2008 - 11:58

néodina pour te répondre en fait elle dormait avec nous les 4 premiers mois mais au bout de 4 mois on l'a mise dans sa chambre car on avait l'impression qu'on la réveillait justement en nous couchant ou même en dormant, elle a le sommeil très léger, d'ailleurs parfois quand on part on dort avec elle et c'est très difficile car à chaque fois elle se réveille si on fait un peu de bruit en rentrant dans la chambre ou si ma grande bouge sur son matelas pneumatique etc!!
du coup elle dort beaucoup mieux (et nous aussi!!) seule dans sa chambre, d'ailleurs j'angoisse un peu pour cet été en vacances de dormir avec elle!!

sinon maintenant ça va très bien, elle ne tête plus la nuit depuis ses 8 mois, et là à 11 mois, à part quelques réveils dus aux dents elle ne se réveille plus la nuit, donc c'est cool!
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lara
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyMar 1 Juil 2008 - 14:55

néodina a écrit:

Je regrette de n'avoir pas laissé mon fils râler un peu plus (pas pleurer, mais râler) afin qu'il trouve lui -même une solution ou qu'il apprenne un peu la frustration, j'aurai peut-être un enfant moins exigeant et coléreux. Mais à l'époque je me précipitais pour le prendre dans mes bras au moindre chouinement ou mécontentement et je ne suis pas sure de lui avoir rendu service.

voilà une question que je me pose (et que les gens n'hésitent pas à me poser aussi...), tu crois que c'est lié ?
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Nadëa
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyMar 1 Juil 2008 - 17:36

je ne t'agressais pas binoumette. et non les réflexions je le gère très bien. mais ça fait pas très politquement correcte en socièté de tout le temps parler maternage. alors oui ici je dis ce que je pense sans pour autant avoir voulu t'agresser. comme le dit claire tu peux dire ce que tu pense, moi aussi. ce n'est pas contre toi.
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Majka
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyMar 1 Juil 2008 - 19:21

lara a écrit:
néodina a écrit:

Je regrette de n'avoir pas laissé mon fils râler un peu plus (pas pleurer, mais râler) afin qu'il trouve lui -même une solution ou qu'il apprenne un peu la frustration, j'aurai peut-être un enfant moins exigeant et coléreux. Mais à l'époque je me précipitais pour le prendre dans mes bras au moindre chouinement ou mécontentement et je ne suis pas sure de lui avoir rendu service.

voilà une question que je me pose (et que les gens n'hésitent pas à me poser aussi...), tu crois que c'est lié ?


Je me demande aussi, ma fille est très exigente, et tout le monde me fais encre la reflexion que je repond a toutes ses demandes au quart de tour...
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sabine77
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyMar 1 Juil 2008 - 22:50

Bonsoir,

Je souhaite juste remercier Séverine pour son témoignage sur les pleurs et l'endormissement au sein. Le pb avec Marianne c'est que lorsque je suis en déplacement et donc ne dors pas à la maison, elle s'endort sur son papa, puis en cododo et lorsqu'elle se réveille la nuit, elle fait le tour de l'appartement en pleurant en me réclamant et mon mari finit au bout d'une heure à la rendormir devant la TV pascontent184 Mais bon c'est le seul moyen qu'il a trouvé !

J'apprécie également ce moment de complicité, mais je n'ai plus de temps pour moi le soir et je finis souvent par m'endormir en même temps qu'elle. Du coup les journées défilent sans même profiter d'avoir du temps pour moi.

Si je n'ai pas laissé pas pleurer Marianne trop longtemps, c'est également parce que je suis convaincu que cela peut avoir des répercussions sur son développement cérébral et donc du coup, je culpabilise. Et je culpabilise également du fait qu'elle ne fasse pas de sieste car cela peut également avoir des répercussions sur son développement cérébral !
Alors voila, je n'ai pas trouvé de solution à ce paradoxe car je travaille et qu'en journée la nourrice ne peut pas lui donner le sein.

Du coup, je me dis que pour le deuxième on ne fera du cododo uniquement jusqu'à 3 mois et je me lèverai ensuite malgré la fatigue pour habituer bb à dormir seul et se rendormir seul.

A+
Sabine
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Antinéa
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyMer 2 Juil 2008 - 5:55

Hooo Sabine ... aau

tu sais pour les pleurs, je crois que si Mariane SAIT que tu es là, qu'elle est dans un environnement où elle EST entendue ça fait une sacré différence avec laisser pleurer jusqu'à l'endormissement un enfant... non ?

J'imagine que vous en avez déjà parlé des déplacements ?
installé des rituels de départ ? et laissé un T shirt...

aau plein de chaudoudoux.

(Tu me prends Samedi pour la réunion ?)
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Claire
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyMer 2 Juil 2008 - 9:02

Majka a écrit:
lara a écrit:
néodina a écrit:

Je regrette de n'avoir pas laissé mon fils râler un peu plus (pas pleurer, mais râler) afin qu'il trouve lui -même une solution ou qu'il apprenne un peu la frustration, j'aurai peut-être un enfant moins exigeant et coléreux. Mais à l'époque je me précipitais pour le prendre dans mes bras au moindre chouinement ou mécontentement et je ne suis pas sure de lui avoir rendu service.

voilà une question que je me pose (et que les gens n'hésitent pas à me poser aussi...), tu crois que c'est lié ?


Je me demande aussi, ma fille est très exigente, et tout le monde me fais encre la reflexion que je repond a toutes ses demandes au quart de tour...

Sachant que Noa n'a pas eu de maternage proximal (pas porté, pas de cododo, nounou à 2mois et demi, allaitement jusqu'à 13 mois, mais au bib de mon lait chez la nounou) et qu'il est tout aussi impossible et exigent que son frere, je me dis que.... définitivement non...
Et je ne fais pas ça pour l'instant présent seulement. Je sais, je sens au fond de moi que je donne une grande confiance à Tomy, et ça je le vois tous les jours, et que ça le valorise et lui apporte une base et une securité interieure pour l'avenir. Le tapage de tete contre les murs que je vis (pour moi ein, pas pour lui, quoique parfois.....arghhhh), c'est du credit pour l'avenir, et c'est des soucis en moins pour plus tard...
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MessageSujet: Re: pleurs des bébés: quand ils en ont besoin...   pleurs des bébés: quand ils en ont besoin... - Page 2 EmptyMer 2 Juil 2008 - 23:05

Majka a écrit:
lara a écrit:
néodina a écrit:

Je regrette de n'avoir pas laissé mon fils râler un peu plus (pas pleurer, mais râler) afin qu'il trouve lui -même une solution ou qu'il apprenne un peu la frustration, j'aurai peut-être un enfant moins exigeant et coléreux. Mais à l'époque je me précipitais pour le prendre dans mes bras au moindre chouinement ou mécontentement et je ne suis pas sure de lui avoir rendu service.

voilà une question que je me pose (et que les gens n'hésitent pas à me poser aussi...), tu crois que c'est lié ?


Je me demande aussi, ma fille est très exigente, et tout le monde me fais encre la reflexion que je repond a toutes ses demandes au quart de tour...

idem que claire. vu que j'en ai 2 maintenant je peux comparer content103

ma première, bébé très intense en besoins (d'ailleurs elle l'est toujours, en un mot elle m'épuise !), je l'ai materné mais avec toujours ce besoin d'aller contre elle dans le sens où j'essayais par n'importe quel moyen de la faire dormir sans moi, ect.
là avec ma deuxième, j'accepte tout, maternage proximal dans toute sa splendeur et je sens qu'elle se détache peu à peu, elle commence à dormir un peu sans moi, accepte un peu le transat, ect.

après ta puce est peut-être exigeante tout simplement parce que c'est elle, parce que c'est son tempérament.

0059_G
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