Oh que je compatit pour la sensation d'être un tétons sur pattes, prisonnière de cet allaitement qui a été à un moment si doux...
Je n'ai pas de solution miracle, je me suis moi-même bien débattue avec ce problème, je me suis enervée, j'ai crier sur un enfant en colère qui ne comprenait pas...
Mais j'ai finit par beaucoup parler avec mon fils, et lui dire que les tétés devaient rester de bon moments. Je lui ai refusé quand je n'avais pas envie, interrompu les tétés trop longues, exigé qu'il arrête les acrobatie ou lâche le sein... Il m'a largement hurler son désaccord et sa frustration, mais j'étais sure que je ne voulais plus supporter ça. J'ai écouter, j'ai expliquer... Et ça va mieux. Les tétés sont limités (2-3 par jours ici), je peux les arrété sans cri quand c'est trop long, il fait lui même attention à bien d’installé sans gigoter, me demande s'il peut tété, négocie la durée, et s'arrête seul... ouf! Mais ça a pris plusieurs semaines.
Je pense que aussi que dans le sevrage, même naturel, la mère joue un rôle, comme l'enfant... et mettre tes limites à toi pour que tu sente ton corps respecter, ça n'est pas forcément contradictoire.